"Il y a beaucoup plus de gens émotifs que de vraiment sensibles. La sensibilité rayonne vers les choses, vers les autres. L'émotif égoïste est agité d'un mouvement comparable à celui qui secoue le pot-au-feu dans la marmite. Il mijote dans ses propres limites. Et cela ne va jamais bien loin quand on ne peut sortir au-delà de sa dure peau. " Pierre Reverdy in "En vrac"
Oh, des roses trémières si jolies 😀
Je découvre ton blog grâce à ton passage chez moi et crois moi, tes photos sont très jolies
Suis passée par le métro de Nanterre-Préfecture 🙂
SI c’est mardi, on s’est peut-être alors croisé ..
Un petit jeu pour toi alors .. essayer de retrouver l’endroit où j’ai prit le feuillage rouge en photo 😀
Faut pas me prendre au 1er degré Yoshimi mais je vais quand même aller voir 🙂
sur l’île de ré
on en trouve
on en trouve
j’ai ramassé des poignées de graines
pour mon printemps à venir
belle journée
Conservez-les bien au sec… il pleut, il pleut !
Merci Jeanne
Trémières d’octobre
la douceur en crépon
graines en aumônières
Ca leur va si bien, merci !
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C’est mon anniversaire il n’y a eu que des fleurs de cimetière merci pour ces roses trèmières
Ravie de vous les offrir !
Les miennes aussi sont sèches. Celles’ci semblent si fraiches!
Fin septembre sur mes bords de Seine.
Roses et trémières trés belles.
et sans épines … Merci Manouche;
Superbes…merci Frédérique…Bisous
La lutte continue… bon courage. Vous embrasse.
Je débarque , faut me laisser le temps d’amarrer ma barque !
Prenez votre temps, la soupe est au chaud sur le kanoun 🙂
Elles sont superbe ces roses trémières et si joliment photographiées. Elles sont merveilleusement mises en valeur.
J’aime ces fleurs qui montent haut et lors de mes promenades en été, j’en vois beaucoup.
Merci Frédérique de nous offrir ces douceurs.
Merci Denise. Oui, j’en ai vu de bien gaillardes en moyenne altitude au Maroc.
J’apprends qu’elle serait originaire du Moyen-Orient et porte également le nom
de « passe-rose ».
L’origine du nom « rose trémière » viendrait d’ailleurs d’une altération du mot « rose d’Outremer ».
Comme un O dans l’eau!
Et l’horizon resserré dans les tiges…
Mais ces fleurs
hors du soi
où ne passent
Ni le Temps ni le Sable?
(Avec les mots en idée de J. Mambrino).
Une image qui trouve sa place (:-)) avec l’honneur des mots de Jean Mambrino.
Me demande si Maria le connaît ?
Belle douceur dans ces clichés. Chez moi les roses trémières sont sèches maintenant.
Bonne journée Frédérique
Graines à récolter, donc 🙂
Merci.