"Il y a beaucoup plus de gens émotifs que de vraiment sensibles. La sensibilité rayonne vers les choses, vers les autres. L'émotif égoïste est agité d'un mouvement comparable à celui qui secoue le pot-au-feu dans la marmite. Il mijote dans ses propres limites. Et cela ne va jamais bien loin quand on ne peut sortir au-delà de sa dure peau. " Pierre Reverdy in "En vrac"
Une lumière mettant le grain du sable en évidence d’une façon superbe …
Merci Vincent… la lumière qui révèle le meilleur (ou le pire) de ce qu’elle inonde, son absence aussi qui met en évidence, toujours, l’essentiel.
Le sable semble si fin, si tendre, que les rochers ont l’air de s’y être posés pour s’y complaire, d’une sieste à ne plus interrompre, d’une farniente à éterniser…
Si difficile de rompre ces instants d’éternité, mais le souvenir reste.
Je ne me rappelle plus où j’avais lu ou entendu ceci je te le cite de mémoire : « je pense que les tortues sont des pierres qui à force de rêver sont parvenues à marcher »…
Alors, rêvons, rêvons, nous irons loin.
Bonne nuit
Marcher… c’est si bon de savoir que l’on peut encore mettre un pied devant l’autre, merci Maria pour ta mémoire.
Une beauté à laquelle on a tjrs voulu devenir familier mais on t’indexerait de je ne sais quelle solitude (là bas). Faut dire qu’on ne voit pas la beauté de l’Or qd il n’est pas porté
C’est un compliment et je le prends comme tel.
Une mine d’or très alléchante où nous aimerions nous baigner pour ne faire qu’un!
Merci Frédérique. Bises.
ThierryKarine
Une mine à ciel ouvert… vous savez bien.
J’ai pas bien compris où vous êtes passé. Chiloe c’est fini ?
une vraie mine d’or tes photos…
comme tu sais bien cueillir les « brins » de beauté !
Ephémère album qui marque toutefois chaque instant de « capture ».
un désert mouillé, comme un mirage.
Un mirage qui modifie l’angle de vue. Merci de votre passage, visite, et commentaire.
Elles sont belles, tes pépites. Je devrais peut-être pas les appeler pépites car elles sont très groooosses …
et bien enchâssées, se laissant polir par les éléments, sans résistance.
Enlacées dans le sable, les tortues minérales.
Finies les courses à la marée, elles ne craignent plus rien même pas leur éternité.
Je vais t’appeler l’Orpailleuse, Frédérique, pour ce sable doré et ces pépites que tu nous donnes à toucher des yeux à chaque fois !
Bises.
C’est un « klondike » où je ne me troue pas les poches, « l’or » est à portée de mon coeur et des yeux, bien sûr. Bises Moons.
:°)
Morocco, miss U so much …
Rassure-moi, tu n’es pas interdit(e) de séjour ? Tes papiers sont en règle ? -:)