In silence
Hello darkness, my old friend,
I’ve come to talk with you again,
Because a vision softly creeping,
Left its seeds while I was sleeping,
And the vision that was planted in my brain
Still remains
Within the sound of silence.
In restless dreams I walked alone
Narrow streets of cobblestone,
‘Neath the halo of a street lamp,
I turned my collar to the cold and damp
When my eyes were stabbed by the flash of a neon light
That split the night
And touched the sound of silence.
And in the naked light I saw
Ten thousand people, maybe more.
People talking without speaking,
People hearing without listening,
People writing songs that voices never share
And no one dare
Disturb the sound of silence.
« Fools » said I, « You do not know
Silence like a cancer grows.
Hear my words that I might teach you,
Take my arms that I might reach to you. »
But my words like silent raindrops fell,
And echoed
In the wells of silence
And the people bowed and prayed
To the neon god they made.
And the sign flashed out its warning,
in the words that it was forming.
And the sign said, « The words of the prophets
are written on the subway walls
And tenement halls. »
And whisper’d in the sounds of silence.
Avais imaginé le bruissement des vagues en premier 😉
Oups ! Aujourd’hui, à l’ombre des éléphants, j’ découvre… un bonhomme de pain d’épice qui tire la langue, un hippopotame, un ourson et un chien ! Non ? Euh… C’est l’soleil ! :))
Le soleil fait « voir » et « entendre » !
Hormis le baiser d’éléphant, nous nous plaisons à imaginer celui de la mer et de la roche, avec pour lit douillet cette moëlleuse plage de sable fin.
Un endroit magique qui nous conviendrait à merveille…
Merci Frédérique.
ThierryKarine
Un endroit poissoneux… Amenez vos cannes !
Lu avec amusement les coms de notre chère Maria et de Hassan assez anglophone ou coquin pour penser au… French kiss
Contemplé avec bonheur cette beauté qui ne …trompe personne
Redécouvert avec émotion ce très beau texte puisque j’avoue être plutôt à l’aise avec l’anglais et j’ai chanté moi aussi comme Mime je crois
Beau dimanche à toi et à tous
Coquin lui ? Peut-être bien, son côté lumineux !
Hassan écoutera la musique, et écrira les paroles, les siennes.
Sous la pluie que l’on déteste ici, qu’ils aiment tant là-bas, labourons et semons.
Dans l’interstice de la calanque minérale,
plus d’écho
que du sable.
gisement des ardeurs de l’océan.
à Hassan
Comme j’ai ri à la lecture de votre commentaire, car moi aussi je ne suis guère, pour ne pas dire du tout anglophone … et française d’adoption …
Pas mal pour une sieste …
A l’ombre d’une étreinte géante, oui, pas mal !
pas anglophone, je me limite au baiser éléphant qui n’a pas échappé à la française
Cf la réponse de Maria… Hassan.
Des bras soudés pour confiner la mer !
(j’ai vu aussi ces tendres éléphants, Marie-D)
Elle est d’un calme devant cette étreinte !
Je ne t’ai jamais dit chère Frederique combien j’aime la phrase de Reverdy en en-tête de ta page et combien je me sens en accord avec elle.
Quant au baiser d’éléphants, difficile certes, mais là il est réussi
Bonne soirée
Rien ne t’échappe Maria… moi je m’y accroche 🙂 !
J’aime beaucoup; et la mer « arrivée » au dessous du rocher, et « vaste » au dessus …
Toute en amplitude la mer !
« Still remains »
Bonsoir Frédérique,
fort de l’entendre ici ce soir, et chantée,
assez longtemps après l’avoir ‘écoutée’ si souvent.
Sous le vent, les paroles demeurent ou se perdent, le vent balaie la mémoire ou la met
en stéréo, voire en quadriphonie.
Un magnifique baiser d’éléphants
Vraiment très beau
Et c’est pas simple un baiser d’éléphants 🙂 !