"Il y a beaucoup plus de gens émotifs que de vraiment sensibles. La sensibilité rayonne vers les choses, vers les autres. L'émotif égoïste est agité d'un mouvement comparable à celui qui secoue le pot-au-feu dans la marmite. Il mijote dans ses propres limites. Et cela ne va jamais bien loin quand on ne peut sortir au-delà de sa dure peau. " Pierre Reverdy in "En vrac"
Comme j’aime « ton » regard sur les lieux et les êtres(mais tu m’as dit « vous » je crois, le « tu » est + sympa non ?)
Merci Colette. Je suis très facilement « tu » mais j’ai de la retenue 🙂 . Alors allons-y je vous tutoie dorénavant et réciproquement.
Aussi mimi l’un que l’autre mais si j’ai une attirance mesurée pour les chats..mais là vraiment!!!
Tu vas finir par te faire grignoter… que tu le veuilles ou non 🙂
je m’arrête pour vous écouter, vous regarder peut être par respect, mais sachez que je continuerai mon chemin
bel arrêt fred
Ceux que tu as pris par la main pour les emmener sur leur chemin avec persévérance sauront. Bises Hassan, à bientôt.
Perplexité
D’où venons-nous?
Où irons-nous?
@. : je ne vous la ferais pas à la Pierre Dac 🙂
Souvent, je me suis entendu dire « mais d’où elle sort celle-là ? ».
Réponse fut faite, un peu trivialement certes, mais premier point réglé.
Quand à la seconde question, il ne m’inquiète pas de savoir « où » mais plutôt « comment ».
Bien bonne journée à vous.
Deux petit bouts, le regard tourné vers l’ailleurs…
C’est beau cette ressemblance, cette fraternité… merci
Fragiles les p’tits bouts.
Bien à toi Maria.
Curiosités !
Curiosité et attente de ma part, oui Vincent. Eux, non à mon avis, leur regard se perdait.
Tu me donnes de l’énergie.
Merci.
Tout positif alors… Kouki ! Porte-toi mieux.
C’est drôle comme ils ont tous les deux un peu la même attitude, le même regard… On pourrait croire qu’ils observent la même chose, et que cette chose leur inspire le même sentiment…
C’est vraiment bien vu de les publier ensemble, Frédérique ! ;o)
Oui Bifane, attitudes et regards comparables d’un gamin et d’un chaton ; ils n’observaient rien de particulier, ils étaient seuls, leur environnement désert,
c’était tôt le matin (et moi j’étais planquée). Mon regard les associe forcément. Merci.
Nous aimons ton regard qui va à la rencontre de ce qui nous touche.Merci Frédérique.
ThierryKarine
Prolongation de notre partage.. bises à vous deux.